Mexico 16 mai 2018

in #mexico7 years ago

Je suis Un parmi 20 millions à Mexico City, puisqu'il est dit qu'il y a 20 millions de personnes dans cette mégapole

Alors, me voilà, parfait touriste :

Jean Marchal touriste (1).JPG

Cette ville comptera peut-être cent ou deux cent millions.
Une autre image ?
Oui, une image.
Allons chercher une image parmi celles que j'ai pu capter hier :
Le téléchargement est en cours, car c'est une image assez importante. Elle est téléchargée à 40% le temps d'écrire cette ligne. Je ne sais pas ce qu'elle sera, car je ne l'ai pas prévisualisée IMG_4546.JPG.

Alors maintenant, je la vois. Tout comme vous. Je n'ai pas triché, car c'est vraiment une image que j'ai prise tout à fait au hasard, et que je peux, bien sûr, vous commenter.
C'est une image qui peut rassurer, quand on sait que Mexico est une des villes les plus polluée du monde : Là, nous voyons de la végétation, nous voyons des mexicains marcher sans porter de masques comme cela nous est montré dans certaines mégalopoles en Chine. Il est certain que partout, de par le vaste monde, l'homme exagère face à la nature. En ce moment, juste à côté de mon hôtel, le Casa Blanca, qui se situe dans le quartier historique de Mexico, juste à côté de l'hôtel Méridien, mais nettement moins cher cependant, on construit un immeuble, et pour aller plus vite, il y a des équipes qui travaillent de nuit. L'image qui suit montre une grue qui se trouve à l’emplacement voisin de l'hôtel.

IMG_4507.JPG
J'ai vu cela en France, à Paris, pour la construction des centraux téléphoniques, quand il fallait rattraper le retard du téléphone. Mais là, y a t-il du retard das la construction à Mexico ? Non, je ne le crois pas. Donc cela travaille à Mexico, dans le bâtiment, comme cela travaillait beaucoup à Koweit City en février et mars dernier. C'est une ville qui grouille d'activité. On voit les gens extrêmement actifs.
Pour en dire plus sur cette photographie, j'y vois une manifestation de la démocratie en marche. Il y a une violence au Mexique qui en fait un des pays où la mort violente est fréquente. Là, c'est une manifestation installée en permanence qui dénonce le scandale des enlèvements, des disparitions, et des assassinats sur fonde de corruption des forces de l'ordre et des politiciens par des mafieux, principalement des narcotrafiquants. Nous sommes loin de la Suisse ou du Japon...
Mais je suis sûr que cela avance, que cela s'améliore grâce au débat politique.

Une autre image, toujours avec la m^meDSCN3841.JPG méthode de la choisir au hasard : Là, c'est une photographie prise du point le plus haut de la ville. On voit bien le niveau élevé de pollution, du au fait que Mexico est dans une cuvette, comme la ville de Grenoble. Nous pouvons désormais avoir une magnifique vallée, comme la vallée de Chamonix qui est un des endroits les plus pollués de France, bien sûr, pas partout. Il y a donc un problème à régler.
DSCN3912.JPG

Là, c'est une image choisie, pour montrer la piété : le Mexique est un pays très profondément catholique. On entend le matin, mais moi, c'est plutôt je vois le matin le pape, sur grand écran. Dans cette église, où je me suis arrêté, j'ai vue une femme se déplacer à genoux, portant un cierge. A la fin de cette marche extrêmement fatigante, une autre femme l'a aidée, et c'était sans doute également une aide psychologique, et elle s'est installée tout près du choeur de l'église pour prier.

Là, je mets une image qui met en DSCN4101.JPG lumière le niveau de violence, et c'est dans un musée qui montre l'environnement de vie et de travail d'un des premiers président des États Unis du Mexique. L'assassinat politique fait partie de la vie mexicaine. On prie d'un côté dans les Églises, on tue pour des motifs politiques et mafieux.

Ce qui suit montre des super héros. Il m'était demandé 20 pesos pour la photographie DSCN3870.JPG

Mais j'ai donné 10 pesos, ce qui est certainement encore beaucoup. Il faut reconnaîter que le pesio n'est pas une monnaie forte, face au dollar ou face au dinar Koweiti ou face à l'euro. Les accords commerciaux sur le libre échange font chuter actuellement le peso, qui n'avait certainement pas besoin de cela. On peut manger dans un restaurant pour 55 pesos, avec 75 pesos, on a un bol de soupe, un plat complet et une bouteille de coca cola dans un restaurant populaire où on est cependant assis. Cela correspond à 3 euros. Mais on peut manger pour encore moins cher, c'est à dire pour deux euros, à une petite baraque sur le trottoir, et cela a l'air fort bon. Cependant, on m'a déconseillé de le faire, pour ne pas courir le risque d'attraper une maladie. Notre système digestif n'a pas l'habitude de ce type de nourriture.
Alors l'hôtel Casa Blanca, c'est du très grand luxe, avec des chambres avec petit déjeuner à 75 euros.

Je termine ce petit texte, agrémenté d'images, vers 10 heures et 11 minutes ce mercredi 16 mai 2018, et je m'apprète voir d'autres musées.