Fr - Nuit Debout - # 32 - 💡🌟
1 ère partie - Nuit Debout - # 32 -

Comme annoncé, je vous fais part des 20 premières pages retranscrites du petit Missel - Nuit Debout - # 32 - ce qui équivaut à dire - que vous aurez accès à l'ensemble du livret - pamphlet en 3 posts - 59 pages au total - 📖

🌸- Je ne peux qu'être enchantée de ce partage - moi la rebelle de tous les temps - tant que l'esprit vertueux et son application désenchaînent la spirale du carnage au même titre qu'ils diffusent le partage d'une quintessence planétaire - je dis OUI - liberté - connaissance - justice - amour - plaisir - bonheur pour tous ... spectre lumière qui demeure en tout en chacun - 🕯

Alors j'ai apprécié le verbe - le fonds et la forme mais je ne peux m'empêcher de ressentir cette dualité en mon être :
SaTiSfAcTiOn 🆚 RÉVOLTE -
en effet - le constat argumentatif énoncé dans ces pages révélatrices et dénonciatrices est le résultat d'un épuisement abyssal d'une collaboration qui a trop duré ... sempiternel moratoire veilli d'un demi siècle et ➕ !!! Le verbe "Résister" se conjugue au présent - en tout temps - au - delà du petit jeu de confort - circonstance d'intouchable race ... qui a l'article de la mort mercantile se veut subitement insubordonnée, insoumise, contestataire, dissidente, tenace ...
oui mais avant ou étiez- vous pour défendre le principe du respect de bonne moralité ?!?!
Sans allégation aucune, tout juste avec réalisme ôté de mascarades théâtrales ... "oui, mais on n'a pas le choix" ??? Pas d'autre choix que de servir le système qui tue l'humanité sciemment pour profiter d'un confort pantagruélique, dit - il l'immortel - mortel ???? !!! ?!! Pendant que d'autres crient famine et soif ... candide exemple - argument vous dites vous - non simplement une vérité transcendantale dont on se départ ... ✈️
A bon entendeur salut !

⛔️Il n'est plus l'heure du soulèvement, cette étape est amplement outrepassée , la résistance de dernière minute m'apaise si peu et me révulse tant ... je suis dans le débat de la transparence - ma vérité - ne vous déplaise - même si elle peut paraître tranchante par une critique acérée - mais un honnête combat quelqu'il soit ne se réveille point au départ d'un étranglement mais justement dans son anticipation de convictions authentifiées spirituelles ☯️ - faut il patienter que tous les français soient à l'agonie pour incriminer son royalisme ... empire impérial condescendant, génocide, infanticide, fratricide couronné par sa collaboration du perfide et du déni - assurément la France et ses richesses exponentielles ont permis un maintien déguisé de son statut de Grande puissance mondiale au non de son colonialisme - avoué et désavoué - et voila qu'on arrive au bankrupt au même titre que les autres grands empires capitalistes - tous grandis et propulsés au sommet par la guerre ininterrompue déclarée à l'immensité de la Grande civilisation orientaliste - au lieu de créer une union de type physique quantique - 1+1 = 3 - 💡🌟

Non 🔻 - ils ont vénéré le Dieu - Argent - comme le Pouvoir ultime d'une supériorité de race dite blanche et ont été conséquemment empoissé par leur vicissitude inépuisable - emportant avec eux myriade innocents des 4 coins de monde de par déviances inhumaines.
Dossiers d'une infinie turpitude assassine, mais le plus intolérable ce sont les sacrifices d'enfants et la pédophilie ?!?! On en parle ou pas ⁉️

Alors à quel moment - la fierté, la satiété et la pénalisation ... la France s'est levée, réveillée, électrisée, enflammée, indignée, rebellée à part pour des événements complotistes montés de toute pièce !! Pourtant peuple d'exemplarité d'une époque révolutionnaire mémorable : 1789 et l'illustre déclaration des droits de l'homme et du citoyen. Quelle déception de rencontrer un pays dans son paroxysme inverse. ⚠️
Surtout, quand le chemin pratiqué jusqu'alors m'a valu tous les sacrifices inimaginables pour combattre les entités diaboliques qui règnent maître d'un monde appelé celui du chaos systématique et ainsi demeurer digne de mes profondes convictions -
Évidence - ce monde apocalyptique disparaît et décède en direct à l'heure des guerres kyrielles - stop 🛑 à cette décimation internationale !!!
Intimes confidences déclarées, mon approche parfois virulente - sans filtre - ne demeure que reflet du miroir vérité de mon âme - c'est l'unique composition - version que je peux vous offrir, je suis moi et ne sais surtout pas faire autrement - 🙏🏻🌸



🌍 Dame Nature et l'éveil des consciences fusionnés retournent et épousent à la force des muscles de Sisyphe le cycle dit historique vécu en temps réel - passage abrupt mais salvateur de l'âge de fer à l'âge d'or ! 🌟
Nombreux, nombreuses ont adoptés la rupture et créent ainsi la force nouvelle - dosée d'éthique - d'équité - le retour des de valeurs fondamentales pour tous -
Cette chaîne de solidarité d'esprit - âme - Coeur, cette juste trinité grandit et s'épanouie chaque seconde s'écoulant -
La spiritualité doit reprendre le pas au nom d'une humanité protégée, sauvée, renouvelée - Le capital humain est l'essence même d'une magie naturelle -
La semence du meilleur grain pour une culture 💚 riche et enrichie pour tous !! ☀️🌈
Le sublime de l'Étre dans toute sa puissance - connaissance - Spirit !!! 💡



Sur ces belles paroles, je vous laisse à la lecture du premier épisode - Nuit Debout - # 32 -
Bonne reconnaissance - vérité - sincèrement et merci à tous "les esteemers" pour votre suivi et vive votre Génie particularisé !!! 💡
Je souhaite le Paradis sur Terre !!! Dit- elle Vanessa 😉😉😉


Tout part d'un sentiment, du bruit sourd de l'impuissance que l'on entend chaque matin en passant devant ces femmes et ses hommes que le système recrache dans le caniveau. Ce bourdonnement servile qui fait écho à la morosité du journal télévisé vomissant son flot absurde de nouvelles accablantes. Cette sensation qui gave nos esprits de lassitude, de dégoût, nous l'éprouvons tou.te.s. Nous nous. taisons souvent. Trop souvent. Ici se situe le point de départ, le point de fusion.
Nous pourrions, multiples et égaré.e.s, sous des rythmes imposés par la machine qui nous accorde à peine de quoi subsister. L'idée qu'elle puisse, nous aussi, nous recracher nous paralyse. Alors, nous tordant nos convictions. Le travail s'est transformé en machine à souiller notre dignité et nos espoirs. Coincé.e.s entre la satisfaction de nos besoins fondamentaux et de trop courts moments de loisir, réagir nous semble impossible, illusoire. Lorsque la question qui se pose à chacun d'entre nous et "comment finir le mois?", les appels à la solidarité deviennent des insultes. Les injonctions à la résignation viennent de toute part ils font leurs patients travail de sape. Toute volonté de s'attaquer à l'ordre établi est tourné en dérision ou passer sous silence. Nous ployons depuis des générations sous une épaisse couche de compromis, de discours qui tétanisent et d'immobilisme morbide.
Confusément nous savons que notre monde dysfonctionne, qu'il frappe fort sur les faibles et se montre d'une coupable indulgence envers les puissant.e.s. Mais dans l'urgence du quotidien, comment prendre le temps de penser, d'imaginer ? Alors une gêne obscure se répand, qui s'incarne dans les 1000 petits renoncements consentis pour empêcher le frêle esquif de nos existences de sombrer. Le travail n'est plus qu'un moyen de survivre, s'y accomplir une chimère pour manager en manque en d'amphétamines. Pour nous nourrir, nous passons plus souvent dans les rayons discount des supermarchés qui devant les étals des producteur.trice.s biologiques. Et lorsqu'un.e plus pauvre que nous mendie dans le métro, nos mains agrippent le fond de nos poches et nos cœurs restent fermés.
Nous avançons sur un chemin de crête qui menace de nous plonger dans l'ombre ou la lumière à tout moment. Le découragement l'emporte souvent. Pourtant de profondes mutations fissurent déjà les murs fragiles d'une forteresse qui ne tient plus que par la peur et l'oppression. Ses cyniques chiens de garde l'ont flairé, senti, ils sont au abois, et se saisissent de toutes les catastrophes qui nous frappent pour prendre des mesures liberticides. Attentat, catastrophe climatique, vague de migration : les traumatismes deviennent prétextes à faire reculer nos droits. La stratégie du choc est portée par les garant.e.s de la violence légitime, celle qui cautionnent leurs lois.

Depuis l'instauration de l'état d'urgence, nous voyons notre démocratie pourrir comme un fruit rongé par les vers. L'état d'exception s'impose comme une nouvelle forme et quiconque se dressera face à ces abus sera mis.e à l'écart avec une violence froide. Nous subissons un climat de terreur dont les excès nous affaiblissent, et nous touchent dans ce que nous avons de plus sacré, notre dignité.
Quand nous nous alarmons que des femmes, des hommes et des enfants soient enfermé.e.s, hors des murs et du toit auquel chacun.e a droit, ils.elles nous répondent que la crise du logement est passagère, tout en entretenant la spéculation immobilière.
Nous cherchons à nous libérer des chaînes de la finance qui font du travail un enfer revisité par le père Ubu. Ils.Elles nous assurent que cet ennemi est aussi le leur, avant de déposer les armes sans combattre pour mieux livrer l'argent public à leurs camarades de promotion, Ami.e.s, frères et sœurs de caste. Ont-ils.elles seulement jamais eu le désir de livrer combat ?
Nous exigeons que la politique nous soit rendue, que de nouvelles pratiques viennent nous redonner voix. Ils.Elles nous servent une démocratie de carton-pâte en nous proposant généreusement de choisir le futur emplacement des bancs publics.
Nous appelons à enfin respecter et considérer les femmes pour ce qu'elles sont : la moitié de l'humanité. Nous refusons qu'elles continuent de se briser la nuque contre un plafond de verre qui partout les contient. Comme Denis Baudoin, et Jean-Michel Baylet sont accusés de les agresser sexuellement, ils restent confortablement assis dans leur fauteuil de député au ministre, affalés dans leurs privilèges déshonorants.
Nous voulons protéger nos terres des appétits destructeurs des multinationales. Ils.elles prennent des engagements sans conséquence lors des grandes conférences climatiques, ces séances de contemplation collective, grand-messes où l'inaction bat son plein. Face à l'urgence, ils.elles préfèrent réprimer le mouvement écologiste avec les armes de l'état d'exception qu'ils.elles savamment mis en place. Tant que nos sociétés seront hantées par le spectre de la croissance, nous continuerons à mener des modes de vie insoutenables au mépris de femmes et d'hommes qui souffrent déjà du dérèglement climatique, facteur d'exil et des drames humains.
Lorsque Cédric Herroux, agriculteur de la vallée de la Roya, sauve des réfugié.e.s du froid, de la faim et de l'indifférence, il est poursuivi en justice, ses proches blessé.e.s par une meute de policiers et ses soutiens mis en garde à vue. Pendant que des centaines de petits Aylan s'échouent sur les rives de la Méditerranée, les puissant.e.s sirotent un champagne au goût de cendres dans les tours d'ivoire de Bruxelles. Face à ces drames humains, ils.elles restent immobiles, complices. Pire, ils.elles jettent sur les routes des millions de personnes en alimentant ces conflits, déstabilisant des continents entiers. Tant que la France vendra les Rafale de Dassault, les dictateurs continueront d'être accueillis en grande pompe sur le tapis rouge sang de l'Élysée. Le matelas moelleux de leurs privilèges vaut plus que les 35 000 vies détruites à Alep.
Quand nous décidons de les défier, la réponse ne se fait pas attendre. Le parti de l'ordre se lève comme un seul homme et cogne de toutes ses forces, jouissant de sa toute-puissance. 115 000 : c'est le nombre de munitions de flash- ball commandées par l'État au printemps 2016, autant d'éborgné.e.s potentiel.le.s. Ces armes- là ne sont pas utilisées pour combattre des djihadistes, Elles ne luttent pas contre le sentiment d'un sécurité, elles protègent l'État de son peuple. Une bonne émeute, une foule étouffant sous des gaz lacrymogènes, un tir, une explosion et BFMTV vomira tous les quarts d'heure son déluge d'images pour nous maintenir dans une peur constante.

La prose morbide des expert.e.s des plateaux télé et la litanie de leurs excuses s'insinuent, vénéneuses, jusque dans nos inconscients, et les rares éclairs de lucidité qui émergent sont axés de naïveté, d'utopisme béat. Les sphères médiatiques, politiques et financières partagent tout. Depuis les bancs des grandes écoles jusqu'aux tables des restaurants les plus luxueux, ils.elles jouent aux chaises musicales, s'échangeant les postes comme des cartes Panini. Le temps est révolu de dîner où de vieux Hommes blancs amers et apeurés dissertent d'un monde qui ne les attend plus. En vase clos, sourd aux bruits du monde, ce milieu commence à pourrir. Ils.elles ne peuvent plus prétendre régir nos vies en se soumettant de temps à autre à la mascarade des élections servant toujours plus les intérêts privés.
La transformation de la politique en communication pure anesthésie nos espoirs. Déconnecté.e.s de nos réalités, ils.elles ne nous représentent pas, et voudraient faire de nous des spectateurs atone, assistant mollement au craquèlement quotidien de nos institutions. Chaque message ne traduit plus une pensée ou une envie d'agir mais une stratégie cynique. Mon ennemi c'est le monde de la finance : qu'importe les idées pourvu que le slogan soit fort, qu'il claque, qu'il sonne. Les causes à défendre sont choisies en fonction de leur couleur partisane, de leur potentiel électoral, de leur facilité à être récupérées au maintenues dans le giron symbolique d'un camp.
Ils.elles vivent dans une autre réalité, dans un monde parallèle et lointain. Ils.elles sont au pouvoir depuis des décennies et nous mènent au naufrage, pâles copies d'un capitaine Achab. Nous n'accepterons plus de nommer "réalisme" les solutions qu'ils.elles prônent.
Nous ne prendrons plus de leçons de la part des coupables de la réalité d'aujourd'hui. D'anciens ministres et leurs alliés de circonstances prétendent nous sortir du marasme qu'ils.elles attisent depuis des décennies : c'est la réalité des primaires. Des millionnaires lancent des campagnes de communication pour convaincre la foule télévisuelle que le projet qui détruit nos vies depuis les années 1970 doit être radicalisé pour enfin amener la liberté : c'est la réalité du candidat "antisystème ".
Ils.elles évoquent des circonstances incontrôlables et des puissances extérieures pour nous faire croire plus longtemps au mythe d'une crise qui ne profite à personne. En quarante ans, cette fable a montré son absurdité, nous sommes de plus en plus à la voir pour ce qu'elle est : une sordide méthode de gouvernement, une mécanique de contrôle.

Extrait : 1 ère partie - Nuit Debout - # 32 -
Second épisode ... prochainement en ligne !


