[MUSIQUE] : Un Deye Gon Hayd : la chanson mystérieuse des Gardiens De La Galaxie Vol. 2steemCreated with Sketch.

in #fr7 years ago (edited)


© Marvel, James Gunn

Si tu as déjà regardé Les Gardiens De La Galaxie Vol. 2, peut-être te souviens-tu de la séquence se déroulant sur la planète Contraxia, peuplée de robots sexuels à dispositions des chasseurs de primes et autres canard galactique (oui, Howard, on t’as vu).

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Eh bien lors de cette scène, tu peux entendre une chanson en fond sonore. Une chanson qui n’apparaît pas dans la Bande-Originale officielle du film… mais qui n’est pas passée inaperçu aux oreilles de bon nombre de gens attentifs.

Des sonorités gothiques et industrielles, une voix robotique qui semble chanter dans une langue extraterrestre. Assez entraînante pour en intriguer plus d’un.e.

Assez pour qu’une personne demande à Jeff Gunn, le réalisateur du film, le titre de cette fameuse chanson mystérieuse, ce à quoi il répondit sur Twitter :

« Un Deye Gon Hayd (The Unloved Song) de @jimmyurine - notre première chanson pop alien, écrite spécialement pour le film. »

S’en est suivi un nombre impressionnant de tweets lui demandant si cette chanson sortirait un jour…
Il n’y a à ce jour encore aucune réponse, ni de Gunn, ni de Jimmy Urine, plus d’un an après la sortie du film sur les écrans.

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Sur YouTube, des gens tentent de recréer la chanson comme ils peuvent, histoire de se consoler un peu.

La version la plus proche est celle-ci :

Sous la plupart des vidéos y étant consacrées, nombreux sont les commentaires implorant la sortie de ce tube alien.

Mais pourquoi tout ce mystère autour de cette chanson tant fantasmée ? Pourquoi ce silence radio des deux principaux intéressés ? Verra-t-on un jour débouler sur YouTube, ou quelconque plateforme de streaming, cette chanson devenue quasiment mythique pour une partie des aficionados du film ?

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Pour ma part, je l’espère. Ce petit extrait de trente secondes m’a longtemps hanté.

On remarquera d’ailleurs l’ironie de son titre, « The Unloved Song » (« la chanson malaimée »), vu l’engouement dont elle fait l’objet.

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Bien à toi,

Aslal |-/\