apprendre et comprendre et également faire, du persil aux radis logs ou ronds le 20 avril 2020
Journal au jour le jour de lundi 20 avril 2020
(Une écriture qui a commencé à 9 heures et 16 minutes ce matin sur ma merveilleuse petite machine HP et qui est désormais dans une version arrivée à un certain point à 10 heures et 24 minutes; je suis parti du logiciel Wordpad, puis j'ai été sur Wordpress et actuellement, à 10 hures et 25 minutes, je modifie ce texte, que je vais de nouveau sauvegarder certainement sur Wordpress; je pourrais égamlementr le mettre sur STEEMIT, dont Philipe m'avait longuement entretenu)
Apprendre et comprendre 20 avril 2020
20 avril 2020 à 09 heures et 16 minutes : Le challenge du persil.
Je suis arrivé, après de patiente efforts qui cependant ne m’ont rien coûté, à faire pousser du persil. Assurément, aujourd’hui, j’en suis formidablement heureux. Faire pousser du persil donne une certaine autonomie, cela également conduit, me conduit aujourd’hui sur un cheminement dans la réflexion, sur ce qu’il convient d’apprendre pour arriver à un résultat.
Ici, à Thonne les Prés, dans la ferme du Moulin et tout près d’un poêle à bois de la marque France Turbo qui est à cet instant éteint, et que je ne vais pas rallumer, car la température est peu descendue cette nuit.
« Prouve-le Jean, que cette température est peu descendue ! ».
Non. Je vais faire l’économie de cette démonstration. La température, c’est une mesure d’une donnée physique, et pour s’amuser, il est plus agréable de jouer ou d’échanger avec des personnes qui connaissent les codes.
Déjà, pour qu’une personne prenne un certain plaisir à lire ce petit texte, elle doit connaître les règles :
Il n’y a rien à gagner qui puisse se concrétiser par un gain quelconque monétaire ou qui a quelque chose à voir avec un droit de tirage quelconque sur une ressource commune à un groupe d’humains; là dessus, il faudra un jour que je puisse en faire la démonstration.
Seul le travail intelligent m’intéresse, c’est à dire le travail fait avec de l’intelligence, ce que j’appelle et je définis comme l’intelligence
Les pulsions mécaniques non maîtrisées ou mal maîtrisées ne présentent pas un grand intérêt. La raison doit l’emporter sur la folie. Les comportements stupides qui sont mis à l’honneur et qui font recette pour des spectacles qui génèrent une perte de temps, chacun a la liberté de les avoir dès lors que je ne suis pas concerné.
Ce texte sera bientôt posté sur une base de textes qui se trouve quelque part dans le nuage de disques durs connectés reliés par des installations de transmission et de commutation que j’ai découvert à compter du 15 décembre 1975.
Planter du persil a été une occupation utile au cours de l’année 1976 et pour la première fois de ma vie.
En 1976, j’ai 24 ans, je reviens parfaitement humilié professionnellement de m’être fait renvoyer par Schlumberger Overseas SA 42 rue Saint-Dominique 75007 Paris.
J’avais réussi les tests de sélection à Paris, à la suite d’une petite annonce lue dans le grand quotidien du soir :
« Le Monde »
au cours d’une journée longue et ennuyeuse de jeune chômeur, jeune diplômé et déjà chômeur à 23 ans, déjà à l’ANPE depuis octobre 1974 jusqu’à sans doute le mois de mars 1975.
Sauvegardons !
sous l’appellation :
2020-04-20 jaj le j version 09 heures 38 minutes
Désormais, à 9 heures et 47 minutes, je dispose d’un choix. Soit je reste sur ce magnifique outil qui s’appelle WORDPRESS, et sur cet endroit qui correspond à un endroit physiquement localisé à ce lieu
https://wordpress.com/block-editor/post/jeanlouispaulmarchal.wordpress.com/882
Ce mieu peut changer, il correspond à un endroit physique sur un disque dur, dans un serveur situé quelque part et qu’il serait possible d’identifier.
Tout ce que je fais, tout ce que je rajoute à cet endroit ne m’appartient plus : En fait, il m’appartienty effectivement et je suis le créateur de ce texte, de la m^me façon que je prends une graine de persil et que je la mets dans du terreau et que je fais pousser.
Ces comparaisons jardinières, je les ai eues avec un homme dont j’ai ici les livres, qui ont été écrits à partir des années 1950. J’ai découvert cet homme, Octave Gélinier, à compter des années 1986. La première fois que j’ai été bénéficiaire de son enseignement, cela a été au cours de l’année 1988.
J’ai mis Octave Gélinier au sommet de la totalité des personnes qui m’ont transféré une connaissance utile. Il n’y a pas beaucoup de personnes de ce niveau qui m’ont autant impressionné par leur travail acharné, qui était sans doute à considérer comme un jeu, comme l’occupation préférée, comme une passion. Il y a eu également un juriste de haut niveau, André Perdriau, qui m’a une fois donné un très judicieux conseil sur une opération qui avait mobilisé la totalité de mes moyens financiers, en 1989. Je mets également à ce niveau quelques enseignants ou conférenciers à l’ENA entre janvier 1984 et juin 1985, mais ce qui reste au final est un sentiment de non admiration, et plutôt un sentiment de faiblesse commune à toute l’humanité. Au fur et à mesure de l’avancement dans l’âge, je me dis que les hommes ont de belles réussites individuelles et collectives, mais aujourd’hui, je sais prendre en compte des résultats exceptieonnels par rapport à la moyenne de l’humanité, mais le sentiment d’admiration a beaucoup disparu. L’admiration reste sur les performances techniques, sur la performance de nos chercheurs, de nos historiens. Je continue à admirer le gigantesque travail fourni à certains endroits de la planète.
Et c’est vrai que j’admire l’intelligence et la créativité de certains de nos enfants.
A certains de mes amis, qui parlent avec des sentiments mêlés de l’École Nationale d’Administration, dont j’ai suivi le cursus entre septembre 1983 et juin 1985, donc entre 31 ans et 33 ans, l’âge où l’homme ou le seigneur ou le Dieu Jésus Christ, homme juif, se fait crucifier avec l’accord du pouvoir du colonisateur de Rome et pour satisfaire d’autres juifs tenants de la religion traditionnelle, je dis ce qui suit :
Je n’ai pas intégré l’ENA par la voie royale qui est Sciences Politiques Paris (IEP Paris, qui a d’ailleurs été dirigée par un célèbre énarque de cette m^me promotion Léonard de Vinci 1983 1985)
Je suis originaire de la filière PTT, acronyme de Petit Travail Tranquille, une administration de 450 000 personnes qui en 1975 sont à peu près tous des fonctionnaires.
Parmi les ENSPTT, il y a les internes, dont le suis, qui ont passés un concours interne, et les externes ENSPTT, plus jeunes en moyenne de 5 à 7 ans et les internes ENSPTT sont généralement légèrement déconsidérés par rapport aux externes qui viennent d’écoles réputées comme HEC, ESSEC, Sup de Co Paris, des écoles qui étaient plutôt bien cotées et souvent parisiennes.
Mon véritable niveau a été déterminé par la réussite, en 3/2, à une école d’ingénieurs considérée de deuxième rang
Il me semble avoir mis noir sur blanc l’essentiel : J’ai effectué sur le plan scolaire une série de dégringolades par rapport à des objectifs qui étaient assignés par mon père et mis en œuvre par ma mère.
Chacun de nous est bénéficiaire et victime d’un entourage familial. Nos parents ont été eux-mêmes des bénéficiaires et des victimes. Chaque être humain peut se considérer comme une victime. Mais également, chacun de nous peut se considérer comme un bénéficiaire.
A 10 heures et 6 minutes, je sais que Loïc, l’aîné né le 29 octobre 2016 est à la fois bénéficiaire et victime de l’enseignement, ici, à la ferme du Moulin, d’un enseignement procuré par son père ou par sa mère alors que ni l’un ni l’autre ne sont des professionnels de l’éducation et n’ont pas été formé en pédagogie. Pourtant, Pierre a une expérience professionnelle de 3 années comme directeur de la formation dans une grande structure de 100 000 personnes, le mouvement des Scouts SGDF.
Scouts et Guides de France